Macérat de bourgeons bio
Charme

• • Demander l’avis de votre médecin
  • Ne pas utiliser de façon prolongée (maximum 6 semaines)
  • Ne pas dépasser la dose journalière recommandée
  • Tenir hors de portée des jeunes enfants
  • Ce macérat de bourgeons bio est un complément alimentaire, il ne peut pas se substituer à une alimentation équilibrée et variée ainsi qu’à un mode de vie sain

Agiter avant emploi

     Macérat mère
Extrait de bourgeons frais mis en macération directement sur le lieu de cueillette dans un mélange eau, alcool et miel.
Titre alcoolique : 33% vol
Fabrication artisanale

     Macérat 1D dynamisé
Extrait de bourgeons frais mis en macération directement sur le lieu de cueillette, dilué au 1/10e puis dynamisé à la main.
Titre alcoolique :  29% vol
Fabrication artisanale

Conditionnement de notre macérat de bourgeons de charme bio et Nature & Progrès
Flacon violet Miron, son opacité assure une excellente protection contre les dégradations liées à la lumière
Pipette compte-goutte

Gemmothérapie : comment utiliser le macérat de bourgeons de charme ?

ADULTES ET ADOLESCENTS

• • Macérat mère : 5 à 30 gouttes par jour, en 1 à 3 prises dans un verre d’eau.
  • Macérat 1D dynamisé :  50 à 150 gouttes par jour, en 2 à 3 prises dans un verre d’eau
    Cure de 3 semaines par mois pendant 3 mois.

ENFANT (à partir de 5 ans) 

• • Macérat mère : 1 goutte pour 10 kg dans un verre d’eau, une seule fois par jour.
  • Macérat 1D dynamisé : 1 goutte/kg/jour, dans un verre d’eau
    Cure de 3 semaines
    Conseil : utiliser de l’eau tiède pour faire évaporer l’alcool

A prendre hors des repas.

Composition du macérat de bourgeons de charme bio et Nature & Progrès de Vesunna :

• Bourgeons de charmes récoltés en Dordogne en bordure de forêts et mis en macération sur le lieu de cueillette
• Eau filtrée, dynamisée et structurée
• Miel d’acacia bio de France
• Alcool de raisins bio de France

Famille botanique : Betulaceae

Bien qu’équilibré et harmonieux, il n’en reste pas moins que le charme est un peu notre grand oublié à côté du chêne et du hêtre dont il est le compagnon, ces derniers s’imposant davantage. S’il est très présent en France, il affectionne cependant le Nord et l’Est et est absent du sud du Massif Central. 

Son nom latin, d’origine celte, nous renseigne sur l’une de ses utilisations “car” (bois) et “pin” (tête), c’est en effet du bois de charme qu’on faisait des jougs d’animaux. Aucun lien donc avec le nom que nous connaissons  “Charme”. D’aucuns supposent que ce dernier aurait le sens “d’enchantement”, laissons-nous porter par cette idée, l’élégance de cet arbre n’y est sûrement pas étrangère. 

Les celtes en ont fait l’arbre de la loyauté, il est d’ailleurs totalement dévoué à l’homme dont il satisfait les caprices, il prend notamment toutes les formes que nous souhaitons lui donner : colonnes, palissades, … et accepte d’être planté serré pour former des haies protectrices. C’est de son bois très dur qu’on faisait les moyeux des roues, les étales de bouchers, et les traverses de chemin de fer. C’est l’un des meilleurs bois de chauffe.  

Le tronc d’un vieux charme gris clair et lisse présente de  grosses côtes arrondies qui signent une croissance en épaisseur irrégulière. Cet arbre s’élance vers le ciel et la lumière, son tronc droit se divise souvent assez bas et sa cime est arrondie. Ses feuilles marcescentes sont ovales et pointues au sommet, alternes et pétiolées. Leur limbe est finement denté, leurs nervures secondaires non ramifiées sont saillantes sur la face interne ce qui contribuent à leur donner cet aspect gaufré. 

Bien ancré dans le sol, sa croissance est lente mais sa vitalité est proverbiale : qu’on le taille, il repart de plus belle, que ses branches touchent le sol, elles y prennent racine, si on vient à le couper c’est de rejets qu’il redémarre. Il se caractérise par sa capacité d’adaptation : froids tardifs, coups de chaleurs et intempéries semblent ne pas avoir non plus de prise sur lui. Il fait sien tous les sols et toutes les expositions. Sa sociabilité est également reconnue, il privilégie le groupe… Aurait-il donc quelque chose à nous apprendre ?